Sabine Weyer entre dans la Suite en la lentement, comme célébrant un mystère. Son Rameau, si divers de timbres, articulé dans la profondeur du clavier, pourrait se résumer dans ce Prélude si ombreux dont même la partie vive s’écoule, fluide, rapide, d’un toucher quasi rêvé. Continuer la lecture de À la française