Ces registres si contrastés, cette sonorité ample, cet archet inépuisable, ces pizzicatos ronds comme des gouttes d’eau… Dès l’entrée du Premier Concerto il me semble avoir déjà entendu l’œuvre jouée ainsi. Ni la finesse de touche de Milstein qui y évoquait le dédicataire Kochanski Continuer la lecture de Oistrakh