Le piano impressionniste, ce lieu par excellence de la couleur, Saskia Giorgini l’a déjà illustré dans son album Respighi où elle accompagnait Ian Bostridge.
Sur un grand Bösendorfer boisé Continuer la lecture de D’une danse l’autre
Le piano impressionniste, ce lieu par excellence de la couleur, Saskia Giorgini l’a déjà illustré dans son album Respighi où elle accompagnait Ian Bostridge.
Sur un grand Bösendorfer boisé Continuer la lecture de D’une danse l’autre
Le titre du papier ne veut pas paraphraser Goethe, dont le « Mehr Licht » avait une portée métaphysique. Chez Neville Marriner la lumière était à la fois une philosophie – rendre tout le texte et rien que le texte – et une politesse : faire tout sonore et accessible, aux auditeurs de ses concerts comme à ceux de ses disques Continuer la lecture de Plus de lumière
Enfant, j’écoutais en boucle le coucher de soleil sur les pins du Janicule, avant-dernier volet des Pins de Rome, microsillon Fontana peut-être artificiellement stéréophonisé comme on l’osait alors Continuer la lecture de Le sorcier de Minneapolis
Tout un disque Enesco, comme son accompagnement versicolore pour un album de mélodies de Respighi (voir ici), m’avaient surpris en bien. J’avais été un peu étonné de la voir ensuite choisir Liszt Continuer la lecture de Madame Liszt
Ian Bostridge hier, Timothy Fallon aujourd’hui, les ténors anglais ou américains sont au disque, depuis l’exemple princeps laissé par Robert Tear qui grava la version avec orchestre de Deità silvane Continuer la lecture de Le chant du faune