Le chant haut, celui de la soprano stratosphérique des Chants de la Princesse de Conte de fées ou de la chanterelle du violon de Kochanski fut toujours l’échappée céleste de l’écriture szymanowskienne. Continuer la lecture de L’irréel
Le chant haut, celui de la soprano stratosphérique des Chants de la Princesse de Conte de fées ou de la chanterelle du violon de Kochanski fut toujours l’échappée céleste de l’écriture szymanowskienne. Continuer la lecture de L’irréel