Ivan Moravec aurait pu rester absolument inconnu hors de Tchécoslovaquie, les conditions politiques de l’époque et sa modestie naturelle le prédestinaient à cet anonymat international qui a effacé l’art de tant de pianistes nés de l’autre côté du rideau de fer.
Mais en 1964, le père de Martin Turnovský Continuer la lecture de Tous ses visages ?