Un cycle Beethoven parfait, où sa battue claire avait rencontré l’instrument idéal, un seul disque Schubert, un doublé Berlioz, au moment de quitter les Symphoniker, voici que Philippe Jordan ajoute en guise de cadeau d’adieux les Symphonies de Brahms.
Vienne et la Symphonie fantastique ? Pierre Monteux, qui savait comment susciter les anges et les diables de la partition comme personne, s’était cassé les dents sur les Wiener Philharmoniker. Quelle idée aussi avait eu DeccaContinuer la lecture de Berlioz de Vienne→
Stupéfier ? Philippe Jordan préfère surprendre dans cet ultime volume qui parachève sa seconde intégrale des Symphonies de Beethoven. Je redirai ici qu’à Vienne, il réalise le projet dont son parcours avec l’Orchestre de l’Opéra de Paris avait été plus qu’une esquisse Continuer la lecture de Le Nouveau monde→
Comment s’étonner qu’à Vienne, avec ses Symphoniker, Philippe Jordan poursuive un cycle Beethoven aussi solaire ? Les tempos prestes, l’articulation vive, les phrasés subtils qui tirent l’oreille intègrent évidemment les novations de l’édition Del MarContinuer la lecture de D’un orchestre l’autre→
Jusqu’à la composition de Salomé, Richard Strauss était un compositeur post-romantique brillant qui s’était illustré par de nombreux poèmes symphoniques très appréciés (Don Juan, Till l’espiègle, Don Quichotte …). Ces œuvres magnifiques Continuer la lecture de L’opéra allemand retourne à l’Antiquité→