Concours Chopin 2015. Un jeune homme de tout juste vingt ans partage le jury mais méduse le public : Georgijs Osokins joue Chopin comme la beauté ténébreuse qu’il affiche le faisait espérer, sombre, dense, profond.
Wagner qui composa si peu pour le piano fut poursuivi, pillé, magnifié par les transcripteurs, Franz Liszt le premier, qui faisait acte d’apôtre, soucieux de porter la bonne parole au-delà de Bayreuth. On oublie trop souvent ce souci de divulgation Continuer la lecture de Tout Wagner dans un piano→