Josef Suk n’était pas encore le beau-fils d’Antonín Dvořák, mais déjà son élève, lorsqu’il composa son Quatuor avec piano, premier opus et déjà un manifeste dont l’Adagio regarde vers la musique française, les mouvements extrêmes plus vers Brahms que vers Dvořák Continuer la lecture de Quatuors de famille