Juliusz Zarębski atteignit une certaine postérité par un chef-d’œuvre absolu, le vaste Quintette pour piano et cordes qu’il acheva en 1885. Il eut tout juste le temps de le créer à Bruxelles avant que la mort ne l’emporte dans sa trente-deuxième année, trois ans de moins de vie terrestre qu’il n’en fut donnée à Mozart Continuer la lecture de L’âme de la Pologne