J’ai toujours été déconcerté par le jeu droit, métrique, raide presque, mis par Wilhelm Kempff à Sposalizio dans l’enregistrement qu’il en réalisa pour la Deutsche Grammophon en 1974 : quasiment un anti lui-même. Mais dès Il Penseroso, maussade, étrangement étouffé, le grand Kempff reparaissait, qui Continuer la lecture de Liszt en trio