Qui peut le plus peut le plus. Après tant d’albums où ses fabuleuses facilités digitales finissaient par faire oublier l’artiste que sait être Marc-André Hamelin, le voici qui se confronte aux cahiers d’Images de Debussy et à son Second Livre de Préludes.
Un tropisme russe poursuit Steven Osborne, auteur au disque d’une trop méconnue intégrale des Préludes de Rachmaninov et d’une lecture singulière des Tableaux d’une exposition. Il persiste et signe avec cette fois un programme de haute virtuosité pianistique, mettant en regard deux compositeurs qui s’appréciaient Continuer la lecture de Les deux amis→