Une carte de visite ? Franchement, je serais passé à côté de ce premier disque si Georgiana Pletea ne l’avait ouvert par Miroirs.
Noctuelles irréelles babillant dans des touches de cristal Continuer la lecture de Premiers sillons
Une carte de visite ? Franchement, je serais passé à côté de ce premier disque si Georgiana Pletea ne l’avait ouvert par Miroirs.
Noctuelles irréelles babillant dans des touches de cristal Continuer la lecture de Premiers sillons
Une fois entendu l’Opus 10, impossible de ne pas succomber au clavier versicolore, au grand piano empli d’imaginaire sonores – musiques d’autres temps, échos de la nature, vertige des cloches se répondant d’une église l’autre – qui rend cette part de l’œuvre d’Enesco plus radicale encore que ne le sont ses symphonies Continuer la lecture de Addiction