Supraphon ne disposait pas d’une intégrale des Quatuors de Dvořák, s’étant fait voler la politesse par Deutsche Grammophon qui avait confié les quatorze opus, mais aussi les Cyprès au Continuer la lecture de Dvořák à quatre
Supraphon ne disposait pas d’une intégrale des Quatuors de Dvořák, s’étant fait voler la politesse par Deutsche Grammophon qui avait confié les quatorze opus, mais aussi les Cyprès au Continuer la lecture de Dvořák à quatre