Étudiant au Conservatoire de Prague, Josef Vlach rêvait déjà de constituer son quatuor. Ce sera finalement fait en 1950, Vlach imposant un style cravaché, où les rythmes éclataient, où le jeu était orchestral, une sorte de révolution en soi.
Leur grand œuvre sera les Quatuors de Beethoven Continuer la lecture de Les quatre de Prague →
Je sais que les Quatuors de Smetana sont ses opus absolus, loin devant Ma Vlast ou La Fiancée vendue, mais voilà, il faut parfois un disque pour confirmer une certitude.
Le choc que j’ai ressenti lors des premières mesures du Quatuor « De ma vie » m’a soudain replongé l’année Continuer la lecture de De la Folie →
Revoilà les Talich. J’ai hésité longtemps avant de chroniquer ce disque, car j’en ai signé le texte de pochette. Mais impossible de ne pas vous en dire ne serait-ce que deux mots. La nouvelle formation emmenée par Jan Talich revient Continuer la lecture de Le son doré →
À la mémoire de Nicolas Baron, le meilleur d’entre nous
Que se passe-t-il chez les majors ? On déboîte, on remboîte, on collationne, on éparpille, on regroupe, on propose des biais thématiques qui n’épuisent pas les thèmes, des portraits d’artistes où les lacunes en autoriseront de suivants : le discophile croit s’y retrouver sans bourse déliée mais s’y perd en fait. Argument Continuer la lecture de De l’art de bien rééditer – Vol. 1 →
Artalinna, la musique, l'art, les bonnes choses