Josef Suk, gendre d’Antonín Dvořák, a connu le quatuor de l’intérieur : il tenait le second violon du Quatuor Tchèque. Les partitions rassemblées constituent une intégrale cohérente de tout ce qu’il aura écrit pour les quatre cordes ou plus (le Quintette avec piano Op. 8) Continuer la lecture de Vers les modernes