Leur duo s’était formé au disque, d’abord pour le Rigoletto scaligère de Rafael Kubelik, puis sous la baguette de Sir Georg Solti dans un Don Carlo devenu légendaire : Carlo y était l’Infant, Dietrich le Marquis de Posa dans la prison qui verrait bientôt le meurtre du second. Continuer la lecture de Frères de voix