Cette ardeur, ces mains qui se précipitent, dévorant les portées les plus orageuses coulées de la plume de Schubert, quel saisissement !
Aurelia Vișovan n’a pas froid aux yeux, exaltant les fureurs visionnaires de cet Allegro homérique qui ouvre la grande Sonate en ut mineur, elle sera tout aussi étonnante dans la ronde infernale du Finale qu’elle implose de foucades. Grande version Continuer la lecture de De l’audace