Cela n’ajoutera certainement rien à sa gloire, qui fut si cruellement posthume, mais enfin pour moi chaque note laissée par Sergio Fiorentino est précieuse. Donc, le 10 août 1998, dans le petit théâtre de Roca Vescovile di Bertinoro, sur un piano un peu revêche Continuer la lecture de Ultima Verba