Il fallait l’oser : diriger du clavier cette symphonie qui est à peine un concerto et où le jeune Brahms aura fait, comme dans ses deux premières Sonates de piano, sa révolution.
Pour l’intrada, jouée large, plus inquiète que fulgurante, vrai paysage de Baltique, Lars Vogt s’affirme absolument chef Continuer la lecture de Orage