À la bascule des années 1860, Brahms resserra en deux opus son orchestre dans deux fabuleux Sextuors. Forme de symphonie, mais ton de sérénades. Cette ambigüité si tentante, les Belcea et leurs deux amis s’y engagent sans frein, jouant amoroso ces merveilles lyriques belles comme des nuits d’été constellées d’étoiles. Continuer la lecture de Brahms heureux