Pepys notait dans son journal avoir entendu un surprenant motet à cinq voix écrit par un des « boys » du Capitaine Cook, un « joli garçon » dont la musique enchantait Charles II.
Ce petit prodige contemporain de Blow et de William Turner et auquel l’oncle de Purcell confia l’éveil musical du jeune Henry Continuer la lecture de Le jeune homme et la mort