Les Takács désiraient enregistrer le Quatuor de Ravel en le mettant en regard avec Ainsi la nuit d’Henri Dutilleux, d’un chef-d’œuvre l’autre en quelque sorte, mais il restait de la place pour une troisième œuvre Continuer la lecture de Pour le disque
Archives par mot-clé : Stephen Hough
Chants magnétiques
Musique du silence, plutôt que musique silencieuse. Dès le bruissement d’ailes dorées de l’Angelico qui ouvre le Livre de 1959 (et donc tout le cycle écrit sur presque dix ans), Stephen Hough ouvre la porte mystique que désignent les fragments de chansons catalanes Continuer la lecture de Chants magnétiques
Fantaisie
Moderato e cantabile. Stephen Hough prend Schubert au mot et son indication à la lettre : la fluidité du geste, le repli dans les pianissimos, les guirlandes dorées de l’aigu d’un très beau Steinway (et bien capté, David Hinitt donnant de l’espace, profitant de la belle acoustique du Henry Wood Hall) augure d’une Sonate en sol majeur magique à force de tendresse, d’allusion. Continuer la lecture de Fantaisie
La décennie prodigieuse
Erato Years? Virgin Years! Les CDs aux couvertures colorées du label britannique surprirent dans les rayons des disquaires, rapidement ceux de Stephen Hough Continuer la lecture de La décennie prodigieuse
Nuits noires
Tous les Nocturnes, même ceux qu’on a cru être ceux de Chopin et que l’on sait aujourd’hui ne pas être de lui comme le Nocturne en ut mineur que l’on attribue selon toute probabilité à son élève Charlotte de Rothschild. Stephen Hough place ces cinq opus Continuer la lecture de Nuits noires