Pour Hans Rosbaud, ce parangon de la musique de son temps dont le style de direction d’orchestre si clair influença Pierre Boulez, le grand répertoire était un devoir : à la tête de son orchestre de la Sudwestfunk il se devait de présenter au public Beethoven, Brahms, Schubert, Mozart, Haydn, Bruckner même, en les mâtinant de Berg et de Schönberg. Continuer la lecture de Ferveur