« Naturlaut », c’est ce que voulait faire entendre Gustav Mahler dans les premières pages de sa Première Symphonie, les bruits de sa nature d’enfance, avec l’écho lointain des fanfares de la garnison proche. Un ländler piqué d’un chant de coucou suivra, Semyon Bychkov le file avec une douceur irréelle Continuer la lecture de Terre et Ciel