Rescapé de l’enfer d’Auschwitz où il dirigea l’orchestre, Szymon Laks était de ces Polonais venus à Paris durant l’entre-deux-guerres. À l’instar de son compatriote Alexandre Tansman, il trouva sa place dans la vie musicale de la capitale, éden cosmopolite où bouillonnait une créativité inextinguible. Quasi tout ce qu’il écrivit durant ces années aura été détruit ou perdu Continuer la lecture de Par-delà la mort