Heinz Holliger s’immerge depuis seize ans dans l’œuvre de Charles Koechlin. Cela devait bien le mener à Debussy. Il y entre par la grande porte, alors qu’il aurait pu commencer par Khamma, justement orchestrée et finalisée par Koechlin. Il grave ainsi les Images, les deux Rhapsodies et le Prélude à l’après-midi d’un faune. Continuer la lecture de Doublé Debussy