C’était fatal, ce démiurge infernal à l’égo revendiqué ne pouvait que céder à la tentation Mahler. Après tout, Teodor Currentzis est un génie à sa façon, et en quelque sorte ce disque le prouve.
Alors qu’il déchaînait des tempêtes dans Dido & Aeneas de Purcell Continuer la lecture de Tropisme Mahler →
Est-ce d’avoir fréquenté si assidûment l’orchestre de Teodor Currentzis – le claveciniste du cycle Da Ponte de MusicAeterna c’est lui !, – qui pousse Maxim Emelyanychev à écheveler son Mozart ainsi ?
Ce disque risque bien de vous faire grimper aux rideaux, ses audaces sont bluffantes, son discours théâtral en déconcertera plus d’un, mais une fois consentis les moyens – phénoménaux – de l’artiste Continuer la lecture de Expérimental →
Le Sacre du printemps, qui plonge son orchestre décisif pour la modernité dans les rites d’une ancienne Russie fantasmée, aura connu en Union Soviétique une éclipse totale jusqu’à ce que Robert Craft ne l’y révèle lors du voyage de Stravinski à Moscou en … 1962. Continuer la lecture de Sacre russe ? →
Cathy Krier n’a pas froid aux yeux. Contrairement à ses collègues pianistes qui marient Rameau à Debussy, elle confronte dans un album-manifeste assez clouant la Suite en sol, La Dauphine et quatre Pièces de Clavecin en Concerts à la Musica Ricercata de Ligeti. Continuer la lecture de Rameries IV : Cabinet de curiosités →
Artalinna, la musique, l'art, les bonnes choses