Un glissando des bois et des vents de l’orchestre me plongeait enfant dans l’Amazone : Leopold Stokowski dirigeait en ouverture d’un microsillon essentiellement consacré à deux suites tirées des grands ballets de Ginastera, Panambi et Estancia, un poème d’orchestre d’Heitor Villa-Lobos, lui aussi à destination chorégraphique : Uirapuru. Continuer la lecture de Sous l’Amazone