1913–1923, dix années pour mettre en musique le texte fleuve que Claudel déduisit de L’Orestie d’Eschyle. Assurément le sommet de leur collaboration, loin devant Christophe Colomb mais d’abord l’œuvre absolue de Milhaud où le compositeur fit entrer toutes les visées modernistes de son art. Continuer la lecture de Le chef-d’œuvre de Darius