Au cours des années cinquante, Decca posa ses micros à l’opéra de Belgrade. Objet, y saisir d’abord le Boris et le Dosifei de Miroslav Čangalović et réaliser une série d’enregistrements d’opéras russes par une troupe les ayant naturellement à son répertoire.
Cette série souvent décriée restait à dormir dans les archives Continuer la lecture de Pour l’amour de Drago