Je sais l’ardeur, l’invention, les conceptions, savantes jusqu’à l’alambiqué, et le souci de l’effet qui sont à la fois les stigmates et les vertus de l’art de Vladimir Jurowski. Et je sais aussi sa dévotion à Rachmaninov depuis un troublant Chevalier ladre à Glyndebourne où il conduisait Continuer la lecture de La mal-aimée