Heifetz se fit le champion des deux concertos réunis ici par Baiba Skride : son archet voluptueux et brillant se glissait dans l’un comme dans l’autre avec une évidence telle qu’on n’avait pas le sentiment qu’il les jouait, mais plutôt qu’il en respirait les musiques Continuer la lecture de L’ombre d’Heifetz