Dès le Capriccio qui ouvre l’Opus 116, ce son de plein piano, ces basses qui grondent leur tempête, les accords sans clairon mais comme des rais de lumière d’orage, quelle présence Continuer la lecture de Affinités électives
Dès le Capriccio qui ouvre l’Opus 116, ce son de plein piano, ces basses qui grondent leur tempête, les accords sans clairon mais comme des rais de lumière d’orage, quelle présence Continuer la lecture de Affinités électives