Quel programme !, les contre-ut de Tonio, envolés en voix de grâce, mais aussi la ligne si pure de l’invocation d’Iapas (« O blonde Cérès »), l’éloquente clarté de la ligne ascendante de « Lève-toi, soleil ! », mais également l’air parfumé de Gérard, et même Werther et Des Grieux. Continuer la lecture de France-Bohème